12.1 Témoignage rapporté par le docteur François LEBIGOT
VI - Les témoignages - Les médecins - les infirmiers - les pompiers
Témoignage du Docteur François LEBIGOT psychiatre et psychothérapeute
Un patient qui a assisté pendant son service militaire au massacre de la rue d’Isly vit aujourd’hui dans son grenier où sa femme vient lui apporter de la nourriture. Il ne sort que la nuit et met alors des lunettes noires et un treillis militaire.
12.2 - Docteur Vincent LAFORGE - Effets vulnérants des armes à feu réglementaires - Thèse 18 mai 2018
VI - Les témoignages - Les médecins - les infirmiers - les pompiers
1 - Effets vulnérants des armes à feu réglementaires - Courrier de Vincent Laforge à Simone Gautier 25 juin 2013
2 - Quelques unes des armes lourdes de guerre qui ont été utilisées pour ouvrir le feu sur une foule pacifique - Alain AVELIN juin 2013
3 - Effets vulnérants des armes à feu réglementaires : Extraits de la thèse présentée et soutenue publiquement par Vincent Laforge le 18 mai 2018 à l''Institut d'études politiques d'Aix en Provence pour l'obtention du grade de docteur en Histoire (794 pages) - Pages 676 à 679 : la tuerie du 26 mars 1962 à Alger
12.3 - Docteur Jean-Pierre RIGAL
VI - Les témoignages - Les médecins - les infirmiers - les pompiers
Témoignage du Docteur Jean-Pierre RIGAL
Témoignage recueilli par Francine Dessaigne dans son livre « Un crime sans assassin » paru en 1994 aux Éditions Confrérie Castille
12.4 - Docteur André FOURRIER
VI - Les témoignages - Les médecins - les infirmiers - les pompiers
Témoignage du docteur André Fourrier
Professeur Émérite
Doyen Honoraire de la Faculté de Médecine de Lille
12.5 - Professeur Paul LEBON
VI - Les témoignages - Les médecins - les infirmiers - les pompiers
Témoignage du Professeur Paul LEBON
recueilli par Francine Dessaigne
"Au moment de la fusillade du 26 mars 1962, je dirigeais à Mustapha le service d'ORL."
En ce qui concerne le corps médical, nous avons collabé toute une série d'observations dont je ne sais ce qu'elles sont devenues. Le grand public (dans la mesure où il peut y être intéressé- ce qui m'étonnerait !...) devrait avoir accès aux archives. Une nouvelle loi vient de prescrire les délais de trente ans pour en ajouter soixante-dix de plus (cent ans ... la péremption de la prétendue histoire!)